Vie professionnelle

Syndicat betteravier d’Alsace

La libéralisation c’est maintenant

Publié le 06/06/2018 | par Bérengère de Butler

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En plein examen du projet de loi issu des États généraux de l'alimentation, Franck Sander a regretté que les aspects sociétaux prennent le pas sur l'objectif initial de la loi qui était de parvenir à une rémunération plus juste des producteurs.

Maintenant que la filière betteravière a basculé de plain-pied dans un marché dérégulé, ce sont les marchés qui fixeront les prix. Dans ce contexte, avoir augmenté les surfaces peut être perçu comme une erreur stratégique. Il n’en est rien, affirme Franck Sander, président du syndicat betteravier : « Si la France ne l’avait pas fait, nous aurions perdu des parts de marché ». Il rappelle que pour Erstein, le projet est d’atteindre 8 000 ha de betterave. Désormais, il y aura des périodes difficiles, et d’autres moins. Il s’agit donc de mettre en place des outils de stabilisation du revenu.

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