Publié le 02/04/2024
Après un hiver doux et humide, l’herbe est en avance. Mais la portance du sol ne suit pas. Le pâturage va donc devoir laisser la place au fauchage pour valoriser au mieux la qualité de l’herbe tant qu’elle est optimale. Il faudra aussi observer l’avancée des stades plutôt que le calendrier pour ne pas rater le coche de la récolte.
Il en est passé de l’eau sous les ponts, depuis l’été dernier, quand l’herbe avait arrêté de pousser dès fin juin - début juillet, en raison de températures trop élevées. Une période que la pluie était venue interrompre, mi-juillet, faisant basculer la situation d’un extrême à l’...