Cultures

René Barth à Lochwiller 

Une roseraie à transmettre

Publié le 06/12/2024

Seul producteur de rosiers dans le Grand Est, l’exploitant agricole René Barth cède son fonds de commerce, l’immeuble et ses terres. Culture spéciale, la rose à planter, que René Barth vend en direct ou à des professionnels (jardineries, paysagistes, etc.) représente les trois quarts du chiffre d’affaires de l’entreprise individuelle. La roseraie Barth, de son nom commercial, à Lochwiller, est efficiente en l’état, assure le pépiniériste qui a presque quarante ans de métier. Il transmet aussi son savoir-faire.

Gestion triennale, culture biennale, fibre commerciale : la production et la vente de rosiers de jardin sont très spécifiques mais simples, si on a le goût des roses et de ses amateurs, dit René Barth. Unique pépiniériste spécialisé dans les plants de rosiers, au nord d’une diagonale allant de...

Publié le 04/12/2024

Jeudi 28 novembre, le dernier rendez-vous du mois de la bio a eu lieu chez Annick et Thomas Lehmann, de l’EARL du Ried à Boofzheim. À partir de la présentation de leur ferme de polyculture élevage ovin, en bio depuis 2018, des pistes pour améliorer la résilience des fermes bio ont été évoquées.

Comme toutes les fermes alsaciennes, l’EARL du Ried a évolué au cours du temps. Autrefois spécialisée dans la production de lait, elle s’est ensuite attachée à cultiver du tabac. Mais l’essoufflement de la filière a poussé les agriculteurs à envisager encore une nouvelle évolution...

Publié le 25/11/2024

La campagne 2024 restera gravée dans les annales betteravières. Alors que la sucrerie d’Erstein venait de retrouver une surface permettant d’envisager son avenir avec sérénité et que de nouvelles variétés arrivaient sur le marché, c’est la météo qui n’a pas été au rendez-vous. Les trombes d’eau et le manque d’ensoleillement ont empêché les racines de se gorger en sucre. Il faut désormais rassurer les planteurs, alors même que les rendements restent corrects et la rémunération annoncée à 40 euros la tonne.

Du haut de sa longue carrière au sein de la sucrerie d’Erstein, le technicien Michel Butscha pose : « C’est la pire campagne des 40 dernières années. Nous cherchons désormais à comprendre les raisons de cette contreperformance ». Elles s’avèrent multiples et imbriquées. ...

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